Gabriel José de la Concordia Garcia Marquez, ou Gabriel Garcia Marquez est un écrivain colombien né le 6 mars 1927 dans la municipalité d’Aracata, en Colombie. Il est décédé le 17 avril 2014 à Mexico d’un cancre (encore lui !).
Ses romans, tels que Cent ans de solitude (1967), Chronique d'une mort annoncée (1981) et L'Amour aux temps du choléra (1985), lui ont apporté la reconnaissance de la critique littéraire. Devenu un écrivain respecté, médiatique et populaire pour la bonne humeur de son style, ses récits pittoresques et originaux et sa langue enjouée, García Márquez met en accord la critique littéraire et le public international qui vantent l'extrême fécondité de son imagination créatrice. Il reçoit en 1982 le prix Nobel de littérature.
Affectueusement connu sous le surnom de « Gabo » en Amérique latine, il est l’un des auteurs les plus significatifs du 20ème siècle. Source : wikipédia
Parmi toutes les citations que j’ai pu lire dans les divers hommages rendus par la presse, celle- là me parle davantage :
« J’ai appris qu’un homme a le droit de regarder quelqu’un de haut seulement quand il est en train de l’aider à se relever »
Profondément humaniste, cette phrase résonne en moi. Elle illustre un concept qui illumine ma vie et la façon dont je conçois la relation à l’autre :
Je t’aide à te relever
Je te regarde sans juger
Je ne suis ni plus ni moins que toi, je suis, c’est tout et je respecte ce que tu es….
Illustration parfaite de la Bienveillance, cet état qui nous permet d'accueillir ce qui est, de ne pas juger. Car nous pouvons toujours juger les actes, mais nous n’avons pas le droit de juger ce que l’individu et ce qu’il est au fond de lui. La confusion des genres est tellement facile, on juge la personne à travers ses actes ; quelle erreur !
Et vous que pensez-vous que Gabriel Garcia Marquez ait voulu nous dire avec cette phrase ?