Né en 1930 et parti en 2010, le rebelle, l’engagé Jean Ferrat a accompagné mon adolescence quand enfermée dans ma chambre, j’allais chercher l’évasion.
Ces chansons, ces paroles, pour moi synonyme de grande solitude…
En vrac :
Redécouvrir tous les possibles (La femme est l’avenir de l’homme)
On ne voit pas le temps passer
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche (Un jour, un jour)
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe (Que serai-je sans toi)
C’est beau comme du Verlaine (Ma môme)
Les filles veulent aller au bal (La montagne)
La mer sans arrêt roulait ses galets (Deus enfants au soleil)
Il ne sert à rien de prendre une guitare (Nuit et brouillard)
Des genets de Bretagne aux bruyères d’Ardèche (Ma France)
Picasso tient le monde au bout de sa palette (Ma France)
M’en voudrez-vous beaucoup (Potemkine)
Aimer à perdre la raison
Et tant d'autres !