Patchwork de scènes de vie de personnages sombres, les uns connus de sa dernière trilogie, les autres tout neufs : Stella, Leonie brisée par un mari violent.
Avant tout j’aime beaucoup la couverture, dessin d’enfant sur fond orange acidulé, et 4eme de couverture tout en couleur. J’adore l’idée de ce livre dans ma bibliothèque !
J’ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce livre non pas qu’il est difficile à lire, mais dès le début je me suis ennuyée. J’ai persévéré mais rien n’y a fait et je dois avouer que les détails sordides de violences conjugales m’ont un peu dérangée.
Bref, je ne lirai pas cette trilogie pas plus que j’ai lu la précédente (écureuils, crocodiles et tortues)
Catherine Pancol qui confie à Catherine Ceylac être une écrivaine, n’a pas réussi à me convaincre. http://youtu.be/w4is4NNHwpY
Extrait p : 360
Au premier étage de l’hôpital, une silencieuse conspiration s’est organisée autour de la chambre de Léonie. Sans s’être consultés, les internes et les infirmières montent la garde et veillent à ce que personne ne viennent troubler la paisible atmosphère, presque recueillie, de la chambre 144. C’est le chariot qu’une infirmière retient de la main et fait glisser sans bruit sur le sol, veillant à ce rien ne s’entrechoque, ou la porte doucement entrouverte par un jeune médecin qui jette un coup d’œil à l’intérieur pour vérifier que Léonie repose tranquillement. Tous, ils sont touchés par une sorte d’enchantement : l’innocence qui se dégage de la silhouette allongée sur le lit qui tient entre ses mains un métronome.